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avril 2019 - Page 2 sur 2 - JEUN'EST
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avril 2019

#GRANDEST.FR Milan Design Week : 3 écoles de design du Grand Est présentent le projet ESTorama

#GRANDEST.FR Milan Design Week : 3 écoles de design du Grand Est présentent le projet ESTorama 1024 457 admin2183

Du 9 au 14 avril, à l’occasion de la Milan Design Week, la Région Grand Est valorise le travail de trois écoles supérieures d’art et de design du territoire : l’Ecole Nationale Supérieure d’Art et de Design (ENSAD) de Nancy, l’Ecole Supérieure d’Art et de Design (ESAD) de Reims et la Haute Ecole des Arts du Rhin (HEAR) Mulhouse-Strasbourg. Ces écoles présentent l’exposition ESTorama, au sein de l’espace Ventura Future : une exposition qui réunit les ressources humaines, industrielles et naturelles de la région, pour mettre en lumière les savoir-faire du Grand Est en matière de design.

Avec le soutien de la Région, auquel s’est associé l’Institut français, deux projets d’écoles et trois projets de jeunes designers issus de ces écoles sont présentés à Ventura Future lors de l’événement Milan Design Week. Ils illustrent une approche ouverte et relationnelle du design, renouvelant les pratiques industrielles et les savoir-faire locaux notamment au travers des matériaux biosourcés.

Dans le but de créer des synergies entre les établissements d’enseignement supérieur et de recherche, les industriels et les artisans d’art, la Région encourage les croisements des disciplines. L’exposition ESTorama montre comment l’utilisation des ressources de proximité et la synergie avec les acteurs d’une région peuvent stimuler la création mais aussi favoriser le développement économique au travers d’un design innovant, responsable et respectueux des compétences et des ressources locales. L’enjeu est de donner une vision à la fois cohérente et spécifique du Grand Est à l’international.

 

La Région Grand Est forme les designers de demain

Soutenues par la Région Grand Est, l’ESAD de Reims, l’Ecole Supérieure d’Art de Lorraine (Metz-Epinal), l’ENSAD Nancy et la HEAR (Mulhouse-Strasbourg), sont réunies depuis 2008 au sein d’une association interrégionale qui assure la promotion de l’enseignement des écoles publiques supérieures d’art, met en place des actions communes, partage des réflexions pédagogiques, favorise l’insertion professionnelle des diplômés et développe des actions internationales, notamment transfrontalières.

Réparties sur 6 sites, ces 4 écoles regroupent 1 500 étudiants encadrés par 200 enseignants et intervenants. Pour leur participation à la Milan Design Week, la Région a apporté une aide de 50 000 € au réseau des écoles supérieures d’art du Grand Est. En parallèle, la Région Grand Est forme également les designers de demain via les filières design proposées par une dizaine de lycées du Grand Est.

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#ENSERVICECIVIQUE La Gazette verte 6 – Les pesticides : la santé des plantes ou l’empoisonnement de la vie ?

#ENSERVICECIVIQUE La Gazette verte 6 – Les pesticides : la santé des plantes ou l’empoisonnement de la vie ? 1078 809 Julie WEISHARD

Du 20 au 30 mars avait lieu la semaine des alternatives aux pesticides. Vous avez peut-être pu voir fleurir différents événements, conférences, projections de films ou débats sur ce sujet mais si vous n’avez pas pu y assister, nous vous proposons une petite explication de leur impact sur notre environnement et notre santé dans cet article.

Qu’est-ce qu’un pesticide ?

Du latin –cida (tuer) et de l’anglais –pest (nuisible), les pesticides sont tous les produits qui détruisent les parasites : les champignons (fongicides), les plantes indésirables (herbicide), les insectes (insecticides)… Ils peuvent s’appliquer en zone agricole mais aussi en zone non agricole dans les espaces verts des communes ou tout endroit où l’on ne désire pas de « mauvaise herbe ». On parle également de produit phytosanitaire ou phytopharmaceutique. Ici, l’étymologie donne un sens différent au mot : on parle de la santé de la plante. En effet, ces termes indiquent que le produit de synthèse servira à garantir une bonne santé d’une plante déterminée. Les pesticides sont composés en principe d’une substance active et d’un solvant qui font l’objet d’une règlementation précise et d’interdictions à l’échelle européenne.

Pourquoi ne pas vouloir de pesticides ?

Les pesticides – et je choisis ce terme qui me parait plus approprié au regard de son utilisation actuelle – empoisonnent les indésirables. Cette fonction implique un caractère toxique, qui est normalement dosé pour ne pas attaquer la plante choisie. Cependant, cette toxicité ne peut pas se limiter exclusivement aux espèces que l’on souhaite éliminer, et altère toute la vie du sol.

En outre, les substances chimiques ont en général une forte rémanence dans l’environnement, c’est-à-dire qu’elles ne se dégradent que très peu avec le temps. Par exemple, le DDT, un pesticide très utilisé jusque dans les années 70 a une demi-vie (= temps mis par une substance pour perdre la moitié de son activité) de dix ans. Aussi, une fois cette période écoulée, il faut réappliquer une demi-vie à la substance restante, et ainsi de suite, et on le retrouve encore aujourd’hui dans l’environnement.

En conséquence, ces produits persistants sont entrainés par le vent (pollution directe durant les jours qui suivent) ou par l’écoulement des eaux sur un terrain bien plus vaste que celui de son épandage. Par ce biais, ils sont véhiculés jusque dans les nappes phréatiques, principale source de notre approvisionnement en eau et peuvent arriver ainsi jusqu’au robinet et jusque dans nos verres ou notre alimentation en ayant survécu en partie aux différents obstacles (un passage dans la chaine alimentaire par exemple). Cependant, les doses qui nous arrivent par le biais de l’eau sont faibles (on les mesure en µg/L) et s’en inquiéter pour notre santé est superflu en général. Le danger réside dans ce que l’on appelle « l’effet cocktail », soit le mélange de tous les produits de toutes les origines (eau, alimentation, air) dans l’organisme. On n’en connait pas encore toutes les conséquences mais on soupçonne qu’elles ne sont pas très joyeuses.

En temps normal, les effets sont « bénins » ou du moins sans incidence à long terme : vomissements, brûlures, irritation des yeux… Toutefois, l’exposition prolongée aux pesticides entraine un accroissement prouvé des risques de certains problèmes de santé graves : lymphome, maladie de Parkinson, cancer de la prostate, malformations de fœtus, baisse de fertilité… Même si ces cas ne sont pas systématiques pour les plus graves et concernent principalement les professionnels en contact régulier avec ces produits, leur simple existence pose problème et devrait inquiéter. Les femmes enceintes doivent donc être particulièrement vigilantes.

Par ailleurs, si de tels effets existent sur un grand organisme comme celui de l’homme, les animaux plus fragiles ne peuvent y échapper et on constate actuellement une baisse drastique de la biodiversité dans les sols, dans les champs avec notamment la disparition d’un nombre très important (un tiers) d’oiseaux et d’insectes.

Ethiquement, on peut aussi se demander si l’homme est légitime à choisir les plantes qu’il désire dans son environnement et à les hiérarchiser (selon quels critères ?).

Que dit la règlementation ?

Depuis le 1er janvier 2017, l’utilisation de pesticides est interdite en France pour les collectivités publiques ; depuis cette même date, les particuliers ont également une interdiction d’acheter et d’utiliser ces produits. Ils demeurent autorisés pour un usage professionnel. De plus, cette loi souffre de multiples exceptions (notamment les cimetières et les terrains de sport) ce qui conduit à une limitation de l’usage des pesticides qui n’est pas réellement contraignante. Au-delà de ces exceptions qui permettent leur utilisation, il est impossible de contrôler les usages des particuliers, et même de toutes les collectivités, qui par manque d’informations, ne respectent pas forcément la règlementation. Autrement, les personnes qui sont autorisées à en utiliser doivent surveiller la liste des produits interdits en Union Européenne, se servir en conséquent d’un produit qui a bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché (AMM), porter des équipements de protection individuelle (EPI), ne pas le faire quand il y a du vent s’il se trouve à proximité d’une école… C’est assez technique finalement, et plutôt cher.

Que puis-je faire ? « Be a part of the solution, not part of the pollution »

Face à une insuffisance règlementaire, c’est la force de l’opinion publique, encore une fois, qui peut faire changer les choses. Et cette force se traduit également par des choix de consommation. Il ne sera jamais suffisamment répété qu’il vaut mieux choisir des produits bio, locaux et de saison : bio pour préserver sa santé des pesticides, locaux et de saison pour préserver l’environnement en n’encourageant pas le transport de produits qui peuvent pousser chez nous ! Nous avons pu voir ici que la santé est très liée à l’environnement, et si cette seconde problématique ne vous touche pas particulièrement, sans doute que la première saura davantage vous émouvoir. Car la question rhétorique de Socrate, « Existe-t-il pour l’homme un bien plus précieux que la santé ? », se vérifie lorsque l’on perd ce bien, ce que l’usage des pesticides pousse à généraliser.

Il est très difficile d’agir sur les pratiques des agriculteurs qui subissent déjà une pression de tous bords. En revanche, vous pouvez pousser votre commune, ou votre lycée à faire partie du dispositif Commune Nature. C’est une distinction de la Région Grand Est et des Agences de l’Eau qui récompense les communes et les autres gestionnaires d’espaces de leurs bonnes pratiques concernant les produits phytosanitaires et qui les pousse à aller au-delà de la règlementation. J’ai pu participer à l’organisation de la distinction de cette année, qui se clôt tous les deux ans par une cérémonie de remise des panneaux (cf. photo). Je peux donc avancer en connaissance de cause que les participants sont satisfaits et fiers de montrer et d’améliorer leurs pratiques mais que tous ne connaissent pas la démarche ou ne pensent pas à sauter la pas. C’est là que vous pouvez intervenir (les abeilles vous en remercieront). Si ça vous intéresse, vous trouverez le lien plus bas.

D’autres actions sont possibles évidemment, mais nous essayerons de les présenter à une autre occasion prochainement.

Ce sujet est le cœur de mon Service Civique et j’ai pu en apprendre beaucoup depuis mon arrivée. J’espère avoir pu vous présenter une partie de ces informations aussi clairement que souhaité et que cela remettra en question votre vision de votre environnement proche (de la végétation spontanée en ville à la pomme dans ton sac qui a subi plus de 30 traitements avant d’y arriver). Pour changer les choses, il faut être conscient des faits, d’où ce travail de sensibilisation que nous effectuons dans cette série d’articles. Merci de nous lire et de partager !

Pour en savoir plus :

– Sur les effets des pesticides sur la santé : https://presse.inserm.fr/pesticides-effets-sur-la-sante-une-expertise-collective-de-linserm/8463/ et Magazine La Recherche n°509 de mars 2016, dossier Pesticides et santé

– Sur l’effet cocktail : https://mrmondialisation.org/inra-alerte-sur-leffet-cocktail-de-pesticides-passee-inapercue-en-plein-mondial/

– Sur la perte de biodiversité : https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/sites/default/files/2018-12/datalab-48-cc-biodiversite-les-chiffres-cles-edition-2018-decembre2018a.pdf et http://indicateurs-biodiversite.naturefrance.fr/fr/les-publications

– Sur Commune Nature : https://www.grandest.fr/commune-nature/

Article rédigé par Cécile Scherer, volontaire en Service Civique (crédit photo 1, 2 et 3)

Parlement Territorial du Sport

#SPORT Participez au Parlement Territorial du Sport

#SPORT Participez au Parlement Territorial du Sport 308 205 Julie WEISHARD

Le modèle sportif français évolue, soyez acteur de sa mise en œuvre dans le Grand Est !

En novembre 2018, le Ministère des Sports a annoncé la création de l’Agence Nationale du Sport qui représente une importante étape dans la refonte de l’organisation sportive.

Au sein de cette Agence, l’Etat, les collectivités territoriales, le mouvement sportif mais également le monde économique vont travailler ensemble et de manière concertée pour développer à la fois la haute performance et le sport pour tous.

Déclinaison de cette structure nationale, le Parlement Territorial du Sport Grand Est qui sera créé d’ici l’été, a pour vocation principale de définir un projet sportif territorial où chaque acteur du sport, pratiquant, organisateur, financeur, utilisateur, pourra défendre son opinion et apporter sa contribution.

En tant que pratiquant sportif, nous souhaitons vous associer à cette démarche. Venez rejoindre le collège des usagers !

A l’issue des candidatures, le 15 mai prochain, 6 représentants des usagers seront sélectionnés selon un panel aussi représentatif que possible. Ces membres actifs seront sollicités pour élaborer le projet sportif territorial, puis étudier à distance certains projets (échanges mails) et assister à 2 réunions annuelles du conseil d’administration du Parlement Territorial du Sport Grand Est.

#S’ENGAGER Prix Régional 2019 pour l’égalité et la mixité

#S’ENGAGER Prix Régional 2019 pour l’égalité et la mixité 380 542 Julie WEISHARD

La question de l’égalité entre les femmes et les hommes, et plus particulièrement de la discrimination liée au genre, se pose dès le plus jeune âge. Qu’il s’agisse d’éducation, de formation, puis de parcours professionnel, de conciliation des temps professionnels, personnels et familiaux, de liberté de circulation et d’accès aux espaces publics, de sécurité et intégrité physique, toutes ces problématiques sont encore aujourd’hui sources d’inégalité notoires.

Les femmes et les hommes n’occupent pas les mêmes emplois, notamment parce que leurs parcours scolaires sont différenciés. Favoriser la diversification des choix d’orientation scolaire et professionnelle des filles et des garçons, des jeunes femmes et des jeunes gens reste nécessaire pour parvenir à une plus grande mixité dans les filières et dans les métiers.

C’est tout le sens du Volet mixité du Prix Régional 2019 : favoriser la mixité dans l’accès aux métiers et lutter contre la persistance des stéréotypes de genre en valorisant les jeunes en cours de formation dans une filière où ils, ou elles, sont sous-représentés et en encourageant les filles à s’orienter vers des métiers dits masculins et les garçons vers des métiers dits féminins.

Vous êtes intéressé.e. pour candidater ? Inscrivez-vous !

Calendrier

  • Mars 2019 : lancement et ouverture de l’appel à candidature
  • Vendredi 31 mai 2019 : clôture des candidatures
  • Dernière semaine de juin 2019 : examen des candidatures par le Jury du Prix
  • Octobre 2019 : remise des prix

 

Documents à télécharger :

Règlement du Prix Régional 2019 _Volet Mixité (PDF – 385 Ko)



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