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mai 2019 - JEUN'EST
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mai 2019

Jeun'Est

#Jeun’Est 2018/2019, bientôt fini… mais Jeun’Est 2019/2020 n’est pas loin !

#Jeun’Est 2018/2019, bientôt fini… mais Jeun’Est 2019/2020 n’est pas loin ! 300 300 Julie WEISHARD

Pour Jeun’Est, l’année scolaire 2018/2019 touche à sa fin.

En effet, les avantages Sport et Manuels scolaires sont utilisables jusqu’au 31 mai 2019.

Pour les avantages Culture (Cinéma et Cinéma +, Spectacle et Spectacle + ou encore Livre loisir), vous avez jusqu’au 31 aout 2019.

Si vous n’utilisez pas vos avantages avant ces dates, ils seront définitivement perdus.

A partir du 11 juin 2019, l’année scolaire 2019/2020 démarre sur Jeun’Est.

Que faire ?

Si vous étiez lycéen et que vous restez au lycée, vous n’avez rien à faire : votre scolarité sera revalidée par votre établissement et vos avantages seront rechargés en fonction de votre profil (que vous soyez concerné par le « lycée 4.0 » ou non).

Si vous étiez étudiant, en Service Civique, en recherche d’emploi, apprenti ou tout autre statut, vous devrez recharger dans votre compte Jeun’Est une pièce justificative de votre profil dès que vous l’aurez (certificat de scolarité 2019/2020, contrat de Service Civique, etc.).

La validation de cette pièce permettra de recharger vos avantages Jeun’Est dans votre compte en fonction de votre profil.

Si vous ne vous étiez pas inscrit à Jeun’Est pour 2018/2019, vous pouvez vous rattraper à partir du 11 juin 2019 en renseignant le formulaire d’inscription !

Tout l’été et tout au long de l’année, profitez également des bons plans ou participez aux jeux-concours pour tenter de gagner des tas de lots (places de matchs ou de spectacles, maillots des équipes du Grand Est, etc.).

Si vous avez des questions, jetez un œil à la FAQ.

Et si cela ne suffit pas, une assistance téléphonique est disponible du lundi au vendredi (sauf jours fériés) de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h30 au 03 66 75 81 92.

Gazette Verte 9

#ENSERVICECIVIQUE La Gazette verte 9 – Alternatives à l’agriculture intensive

#ENSERVICECIVIQUE La Gazette verte 9 – Alternatives à l’agriculture intensive 2560 1920 Julie WEISHARD

Comme vous avez pu le voir dans la dernière gazette verte les agriculteurs connaissent une période difficile. Leurs conditions de vie se dégradent, et leur travail est de plus en plus dévalorisé.
D’un autre côté, l’agriculture intensive est très polluante. Elle use nos sols, dégrade la biodiversité et est très consommatrice en eau et en énergie fossile.

Attention !! Dans cet article je ne compte pas discréditer les agriculteurs conventionnels. Ils n’ont souvent pas le choix de faire autrement. Je tente juste de proposer des alternatives aux consommateurs que nous sommes.

Le problème de l’agriculture conventionnelle

Comme vous avez pu le voir dans le précèdent article de la Gazette verte notre agriculture industrielle pose un certain nombre de problèmes. Ce système qui exerce une pression importante sur les agriculteurs n’est pas sans impact sur l’environnement. Les labours à répétition et l’épandage de produits phytosanitaires (insecticide, fongicide…) provoquent un appauvrissement des sols.
En effet les labourages trop profonds détruisent le milieu de vie des habitants du sol (vers de terre, insectes, bactéries…). De plus les produits phytosanitaires tuent également cet écosystème souterrain. On peut également ajouter à ceci le tassement du sol dû à la circulation des véhicules agricoles, ce qui diminue la respirabilité et l’oxygénation de la terre.

Cet appauvrissement des sols entraine la création d’un cercle vicieux pour l’agriculture conventionnelle. En effet plus les sols sont pauvres, moins les cultures sont bonnes, et moins les cultures sont bonnes plus il faut de produit phytosanitaires. Enfin, plus il faut de produits phytosanitaires, plus les sols sont pauvres. C’est un cercle vicieux. Il existe pourtant des alternatives à cette forme d’agriculture.

Un retour vers une agriculture plus raisonnée

L’agriculture biologique est un mode de production respectueux de l’environnement qui respecte les plantes, les animaux, les hommes et leurs cycles de vie. Cette forme d’agriculture n’utilise pas de produits chimiques, ni d’OGM et est pensée sur le long terme.
Cette forme d’agriculture respectueuse de l’environnement à de nombreux bienfaits : maintien de la biodiversité, développement de paysages de bonne qualité, amélioration de la richesse du sol et de sa stabilité, amélioration de la qualité de l’eau et de l’air,…


Résumé en 6 points :

  • L’agriculture biologique n’utilise pas de produits phytosanitaires
  • Récolte les végétaux à maturité pour optimiser leurs qualités gustatives et nutritionnelles
  • Utilise uniquement des fertilisants naturels (pas d’engrais chimiques)
  • Pratique le désherbage mécanique, thermique ou manuel
  • Protège la biodiversité de la faune et de la flore pour un meilleur équilibre des écosystèmes
  • Elève les animaux en respectant leurs besoins physiologiques et en pratiquant le lien au sol (production d’un certain pourcentage d’aliments sur la ferme)


Mais les produits bios restent cependant en moyenne entre 20% et 30% plus chers que les produits issus de l’agriculture conventionnelle. Ceci est dû à différents facteurs.
C’est un processus qui demande plus de temps, de main d’œuvre et d’espace. En effet se passer des produits phytosanitaires nécessite une plus grande implication de la part des agriculteurs (désherbage mécanique, compostage, soins aux animaux…), ceci demande plus de temps et parfois des moyens humains supplémentaires. Pour permettre aux sols de vivre une vie saine cela nécessite de pratiquer une rotation des cultures et la jachère. De plus pour veiller au bien-être animal il faut des prés et des pâturages dans lesquels les animaux peuvent circuler.
Les rendements de l’agriculture biologique sont bien souvent moins élevés que ceux de l’agriculture conventionnelle.
L’agriculture biologique reste minoritaire. Les couts de transports et de stockage sont donc plus élevés faute d’économies d’échelle. A ceci s’ajoute le coût de la certification, il faut en effet que tous les intervenants, de la filière du producteur au distributeur, soient certifiés bio.
De plus l’agriculture biologique reste moins subventionnée par les pouvoirs publics.

Mais nous on fait comment pour s’assurer que l’on achète bien un produit bio ?
Pour ce qui des denrées alimentaires, deux labels font office de référence : AB (agriculture biologique) en France (il est optionnel) et la feuille étoilée sur fond vert en Europe.
Pour ce qui est des produits de beauté, d’entretien ou textiles, ceci reste plus flou. En effet chaque secteur réalise sont propre cahier des charges.

La permaculture

La permaculture est une méthode d’agriculture maraichère biologique, qui s’inspire de la nature. Ce système « ambitionne une production agricole durable, très économe en énergie (autant en ce qui concerne le carburant que le travail manuel et mécanique) et respectueuse des êtres vivants et de leurs relations réciproques, tout en laissant à la nature « sauvage » le plus de place possible. » (Wikipédia)

Le concept de permaculture ne se limite pas à l’agriculture. C’est cependant cette facette que nous allons développer aujourd’hui. Les techniques permacoles s’adaptent selon le climat et les territoires. Cependant nous pouvons identifier des principes communs à la plupart des exploitations en permaculture.
Tout d’abord, on vise une efficacité énergétique. Ceci s’illustre par différentes choses. On évite le travail inutile : le sol n’est pas travaillé, on zone les productions selon le travail qu’elles nécessitent. On valorise les services rendus par les écosystèmes. Les déchets deviennent des ressources (composts, paillage, alimentation pour les animaux).
On s’inspire de la nature et notamment de la forêt. En effet, les écosystèmes naturels sont largement plus productifs que n’importe quel système agricole humain. Une forêt naturelle est en moyenne 2 fois plus productive qu’une exploitation agricole.

Pour finir, comme dans la nature, on utilise l’association des cultures. Cela permet que les plantes se protègent les unes les autres et une plus grande diversité. Et comme tout le monde le sait la diversité c’est la santé.

Tous acteurs du changement

Et si on devenait des consom’acteurs ?

Vous pouvez adhérer à une AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne). Ce système vous permet de soutenir un producteur local, qui vous fournira une fois par semaine un panier des récoltes de la semaine. Vous contribuez ainsi à la protection de l’environnement en consommant des produits de saison et locaux. Et vous permettez à un agriculteur de vivre décemment de son travail.

Acheter des produits bio.

Comme vous l’avez vu les produits bio sont plus respectueux de l’environnement, de plus il sont plus nourrissant. Alors certes c’est plus cher mais vous ferez du bien à votre corps il vous remerciera. Vous pouvez également vous rendre sur les marchés, vous pourrez ainsi acheter directement vos produit au producteur et contrairement à ce que l’on pense le plus souvent c’est moins cher que d’aller au supermarché.

Green Guérilla

Plus le temps de rigoler c’est le moment de s’impliquer. Une des manière de se réapproprier notre environnement urbain et de le rendre plus vert c’est la green guérilla. 

L’idée de cette luttes est de se réapproprier la ville en y apportant plus de verdure. On occupe ainsi les friches urbaines le bord des trottoirs et des routes. On y créé des potager partagés, créateurs de lien social. On plante des fleurs et des plantes qui favorisent la biodiversité. On installe des hôtels à insectes et des nids d’oiseaux pour les inviter à revenir au cœur de nos villes. Enfin tout un programme vers une ville plus verte et plus respirable. Alors à vos pelles, vos râteau et bombes a graines et réappropriez vous  votre quartier.

Article rédigé par Stanislas Gielec, en Service Civique à la Région Grand Est



#CULTURE Rendez-vous au NL CONTEST avec Jeun’Est !

#CULTURE Rendez-vous au NL CONTEST avec Jeun’Est ! 650 350 Pauline COURTOIS

Le NL Contest by Caisse d’Epargne, le Festival International des Cultures Urbaines, revient pour sa 14e édition, du 24 au 26 mai 2019 au SkatePark de la Rotonde – Strasbourg.

Née en 2005, cette manifestation unique en Europe est plus qu’une simple compétition. Elle met à l’honneur chaque année, au mois de mai, mais également sur toute la période du OFF du festival, les nouvelles disciplines de sports urbains mais aussi toutes les pratiques émergentes qui redéfinissent l’appropriation et l’utilisation de l’espace urbain, autour de trois valeurs : la passion, le partage et la performance.

Le NL Contest fait vibrer la capitale européenne autour de cet univers durant plusieurs mois, de fin mars à fin mai, ponctués par de nombreux événements dans le cadre du OFF (expositions, performances, soirées, ainsi que divers projets et animations) et qui se concluent par l’événement phare, le festival. Il rassemble plus de 35 000 aficionados, néophytes et initiés, sur trois journées et trois nuits festives.

Le festival propose un programme riche, autour des compétitions de sports urbains (roller, BMX, skateboard, freestyle scooter), complété par des démonstrations et tournois liés aux cultures urbaines (StreetBall, Breakdance, Dj’s, Graffiti, et pour la première fois Tricking), une “Grande Scène” musicale, ainsi que de nombreuses animations autour du festival et un village exposants, avec une soixantaine de stands… Le tout, pour un résultat détonnant !

Le NL Contest accueille chaque année des athlètes parmi les meilleurs mondiaux dans leurs disciplines sportives et des artistes locaux, comme internationaux.

N’oubliez pas de profiter de 25% de réduction sur le pass 3 jours grâce à Jeun’Est !

#S’ORIENTER La formation professionnelle, une priorité de la Région en faveur de l’emploi

#S’ORIENTER La formation professionnelle, une priorité de la Région en faveur de l’emploi 1024 460 admin2183

Lors de la commission permanente du 17 mai 2019, les élus du Conseil régional ont accordé plus de 98 millions d’euros pour accompagner des programmes de formation professionnelle au service de l’emploi.

Le développement des compétences, l’acquisition des savoirs, l’épanouissement professionnel sont des priorités pour la Région qui agit au quotidien pour faciliter l’accès de tous à l’emploi.

Parmi les projets soutenus, et présentés par Véronique Marchet, Présidente de la Commission Formation professionnelle, figurent :

  • le programme expérimental de formation  « Nouvelles Compétences » ;
  • le lancement de l’appel à projets « Pacte Itinéraire Compétences » ;
  • l’opération « Seconde Chance Plus » pour les Ecoles de la Deuxième Chance Grand Est (E2C) ;
  • la signature d’un Pacte pluriannuel sur 4 ans (2019 – 2022) ;
  • La signature d’un accord-cadre « 15 000 bâtisseurs » ;
  • La mise en place d’actions de formations sur mesure pour des demandeurs d’emploi.

Programme expérimental de formation « Nouvelles Compétences »

Afin d’anticiper l’évolution des besoins en compétences, le Programme Expérimental Nouvelles Compétences doté d’1,1 million d’euros vise à soutenir les initiatives de nouvelles formations pour préparer les demandeurs d’emploi aux métiers de demain. Ce programme expérimental représente un accélérateur de la transformation de l’offre de formation, afin d’anticiper les besoins et permettre aux entreprises de disposer des compétentes nécessaires pour leur développement.

Différents projets sont soutenus permettant d’accompagner la formation de demandeurs d’emploi dans des métiers tels que technicien d’équipements d’aide à la personne, expert en isolation et étanchéité, spécialiste en cyber sécurité …

Plus de 280 demandeurs d’emploi sont concernés par cet accompagnement.

Lancement de l’appel à projets « Pacte Itinéraire Compétences »

Parce que les besoins en recrutement des entreprises évoluent, ainsi que les profils des demandeurs d’emploi, la formation professionnelle engage sa transformation : la Région Grand Est investit 1,5 million d’euros dans l’innovation pédagogique et dans l’expérimentation de formations par compétences. L’objectif est de construire des itinéraires individualisés et modulaires, en proposant des formations personnalisées qui garantiront une prise en charge globale des personnes dans chaque étape du parcours de formation.

Cet appel à projets s’adresse aux organismes de formation de tout le Grand Est, en associant les entreprises et les branches professionnelles.
Les dépôts de dossier se dérouleront en deux phases selon les dates suivantes, vendredi 21 juin 2019 à minuit pour la première session et vendredi 18 octobre 2019 à minuit pour la deuxième session.

Opération « Seconde Chance Plus » pour les Ecoles de la Deuxième Chance Grand Est (E2C)

Près de 2 000 jeunes de niveau inférieur au baccalauréat et ayant interrompu leur scolarité, bénéficient chaque année d’un parcours de formation de près de 7 mois au sein des Ecoles de la Deuxième Chance. A partir de juin 2019, la Région Grand Est mobilise 7 millions d’euros supplémentaires pour leur apporter un complément de rémunération. Ainsi, ces jeunes sortis du système scolaire, pourront désormais cumuler la rémunération de stagiaire de la formation continue et bénéficier d’un complément équivalent au montant de la Garantie Jeunes. Ceci leur permettra ainsi d’atteindre une aide financière plafonnée à 784,82 euros pour les plus de 18 ans et à 615,15 euros pour les moins de 18 ans.

L’Ecole de la 2ème Chance est l’un des dispositifs soutenus par la Région, comme le service militaire volontaire et les actions de formation professionnelle. Cette mesure s’inscrit dans le Plan d’action du PACTE 2019-2022 au titre de l’accompagnement des publics les plus fragiles.

Signature d’un Pacte pluriannuel sur 4 ans (2019 – 2022)

En janvier 2019, la Région Grand Est a signé avec l’Etat un PACTE pluriannuel sur 4 ans (2019-2022) pour 556 millions d’euros afin d’investir dans la formation professionnelle des plus éloignés de l’emploi. Par ces 2 conventions, l’Etat, la Région et Pôle emploi visent un double défi :

  • s’attaquer au chômage structurel en visant les publics de bas niveau de qualification (niveau bac non obtenu) et jeunes NEET’s (ni en emploi, ni en enseignement, ni en formation),
  • transformer la formation professionnelle par une approche compétences : le diplôme/certification n’est plus une finalité.

Pour 2019, 85 millions d’euros sont ainsi mobilisés pour offrir 15 000 places de formation supplémentaires en prenant en compte les besoins en recrutement des entreprises et en construisant des actions de formation sur mesure.

Signature d’un accord-cadre « 15 000 bâtisseurs »

Les principaux signataires de cet accord cadre sont la Région, l’Etat et la Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, Pôle Emploi, la Fédération Française du Bâtiment Grand Est. Il favorisera l’accès aux entreprises du bâtiment à 15 000 jeunes. Son objectif est d’identifier les compétences, promouvoir les métiers du bâtiment et des travaux publics, mobiliser les acteurs, contribuer à augmenter le taux d’accès à l’emploi après une formation.

Mise en place de 5 actions de formations sur mesure pour des demandeurs d’emploi

Ces 5 actions de formation sur mesure, permettront à 2 236 demandeurs d’emploi de bénéficier de formations débouchant sur un Titre professionnel ou un Certificat de compétences professionnelles dans les domaines des formations digitales, du commerce, de l’informatique, de la comptabilité.

 

➕ de 98 M€ pour la #FormationProfessionnelle au service de l’#emploi
▶préparer les demandeurs d’emploi aux métiers de demain
▶15 000 places de formations en ➕ @poleemploi_GE
▶faciliter accès @ReseauE2C
▶permettre aux #jeunes d’accéder aux métiers du #BTP #CPMai19 pic.twitter.com/DB6Vx2PefH

— Région Grand Est (@regiongrandest) 17 mai 2019

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#S’ENGAGER Lancement de la 3ème édition des Trophées «Grand Est Jeunes Talents»

#S’ENGAGER Lancement de la 3ème édition des Trophées «Grand Est Jeunes Talents» 1024 683 admin2183

Les élus de la Commission permanente, réunis le 17 mai 2019, ont décidé de lancer la 3ème édition du Grand Est Jeunes Talents 2019.

A travers cette action la Région Grand Est souhaite valoriser le potentiel et les capacités d’engagement et de responsabilité des jeunes qui, par la réalisation de projets innovants et d’excellence, participent au développement et au rayonnement de nos territoires. Ce concours, initié par la Région Grand Est, s’adresse aux jeunes, âgés de 15 à 29 ans. 

Pour cette édition 2019 seront notamment mis à l’honneur, parmi les 20 lauréats, des jeunes qui oeuvrent en faveur de la mobilité transfrontalière et européenne, de la lutte contre les discriminations et l’antisémitisme, de l’égalité entre les Femmes et les Hommes ainsi qu’en faveur de la solidarité.

L’appel à participation se tiendra jusqu’au 7 juin, pour que les jeunes concernés soient parrainés par leurs proches en vue de mettre en avant leurs projets.
Un jury de personnalités qualifiées désignera une vingtaine de lauréats qui se verront remettre un prix d’un montant de 1 000 euros.

Tout comme les années précédentes, le trophée fera l’objet d’une création d’un jeune collectif d’artisans verriers Kaléidosco.

Candidatez à « Grand Est Jeunes Talents »

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#GRANDEST Résultats des candidatures « Passeport pour l’Aventure »

#GRANDEST Résultats des candidatures « Passeport pour l’Aventure » 1379 912 Julie WEISHARD

Vous trouverez ci-dessous, la liste des candidats retenus pour « Passeport pour l’Aventure » lors du Grand Est Mondial Air Ballons.

Les bénévoles titulaires :

BALTHAZAR Léa

BEYEN Sullyvan

BOURGUIGNON Alexia

BOUVIER Cécilia

BRISSON Clémence

CHIAPELLO Justine

DURANTAY Esteban

EMPRIN-ZAKRETA Maël

GUILLIER Antoine

HEINRICH Mylène

HUCK Bérénice

LALLEMAND Laurine

LANOIS Mélanie

LEGER Alison

LEGRAND Manon

LEMAIRE Antoine

MAIRE Tim

MATTLIN Maxence

MEZIANE Matteo

MICUCCI LAURENT Louis

NUFFER Angèle

OBERON Dylan

PANOT Charlotte

PARCOLLET Alexis

PERIDON Lucas

PHILIPPE Clémentine

PIERSON Mathilde

SADLER Ange

WALCK Chloé

WEBER Tanguy

Les bénévoles suppléants :

DELVITTO Aurélie

ERTZBISCHOF Océane

GROSJEAN Mélodie

PERSON Marine

Merci à tous pour vos candidatures, et félicitations aux heureux retenus !

Nous vous souhaitons une belle aventure aux côté de toute l’équipe du GEMAB 2019 !

#ENSERVICECIVIQUE La Gazette verte 8 – Culture de l’agriculture

#ENSERVICECIVIQUE La Gazette verte 8 – Culture de l’agriculture 1387 1040 Julie WEISHARD

En ce mois de mai, les fruits et légumes se multiplient sur les étals et nous nous réjouissons de pouvoir manger à nouveau tous ces bons produits de soleil. Pour ça, rien de plus simple : aller chez son dealer de fruits, choisir son produit et sortir le porte-monnaie. Avec ce système, on est très facilement déconnectés de la terre, d’où toute cette bonne nourriture provient pourtant toujours (eh oui).

Aussi, nous avons tendance à déléguer cette lourde responsabilité de nous nourrir à nos agriculteurs et à nous faciliter la vie en allant au supermarché.  Or, avec l’évolution de la société (industrialisation et modernisation), ceux-ci subissent de plus en plus de pressions notamment en France, premier pays de production agricole en Europe.

Pourquoi une telle évolution ?

En 1955, les deux tiers de la population française étaient composés d’agriculteurs. Aujourd’hui, nous en sommes à 2%. Aucun autre secteur n’a connu une telle baisse d’activité, qui est liée à une évolution sociale et par la modification des rapports au vivant :

Une évolution sociale :

D’une part, les phénomènes d’urbanisation puis de rurbanisation ont conduit les jeunes à se rendre vers les villes et abandonner des pratiques plus rurales comme l’agriculture. Mais d’autre part, les jeunes agriculteurs ont montré une envie forte d’accéder à une vie sociale urbaine et salariée. Ce deuxième point passe par une entrée de la technologie moderne dans les fermes et une mécanisation des pratiques afin de soulager  des contraintes fortes que demande le travail d’éleveur ou d’agriculteur.

La modification profonde des rapports au vivant :

Aujourd’hui, (et je vous en ai déjà parlé), on observe une déconnexion importante de l’Homme par rapport à la Nature. Par exemple, la viande que l’on mange est tuée loin de nos yeux pour des questions d’hygiène mais aussi de confort. Les technologies permettent de tenter de domestiquer des contraintes naturelles jusqu’à celle des saisons et de la journée de travail en automatisant et autonomisant un maximum de tâches.

Quelle situation actuelle ?

Pour répondre aux objectifs de rentabilité face à des prix bas , les agriculteurs et les éleveurs sont dépendants de machines lourdes et chères. Ils sont devenus techniciens plus que fermiers au sens traditionnel. Ces méthodes sont absolument nécessaires pour maintenir un taux de production viable, puisque 27 millions d’ha du territoire français, soit presque la moitié, est destiné à la culture avec peu de main d’œuvre. Dès lors, le temps manque pour une véritable expertise des plantes, des animaux et des sols. Ces tâches sont confiées à des sociétés de conseil qui détiennent le savoir et dont les agriculteurs dépendent également.

Il y a aussi la question bien connue des intermédiaires, plus il y en a entre la source et l’arrivée, plus il y a de personnes à payer. Or, puisque le consommateur choisit le produit le moins cher, la pression se fait au niveau de l’achat à l’agriculteur. Aussi, nous sommes actuellement dans un cadre de concurrence mondiale. Les marques peuvent facilement bénéficier de main d’œuvre peu coûteuse et influer à la baisse sur les prix pour une plus grande attractivité ou au contraire bénéficier d’une marge plus importante de manière à asseoir leur position sur le marché par d’autres moyens (la communication par exemple).

Pourquoi c’est problématique ?

La profession subit donc une multitude de pressions de toutes parts (rentabilité, productivité, respect des règles françaises et européennes) qui rend la position de plus en plus difficile à tenir, alors que celle-ci permet de pourvoir à un besoin primaire et vital.

On assiste aussi à une complexité de gestion au quotidien pour les agriculteurs, qui sont a la fois propriétaire d’une terre et ont une activité d’utilité générale il y a donc parfois un conflit entre ces deux facette . Or, des études ont montré que labourer un champ en profondeur entrainait une déstructuration du sol et de ses habitants (composteurs notamment). En conséquent, le sol est plus friable et sensible aux pluies : les coulées de boues et inondations sont facilitées par exemple ( Uniquement sur les sols argileux. Ceci peut être contré par la mise en place de haie ), dans une société qui a perdu sa culture du risque et qui est fragile face à de tels événements.

Qu’est-ce que je peux faire ?

Privilégier les circuits courts et le bio pour soutenir les agriculteurs locaux avec le moins d’intermédiaires possibles, c’est le premier pas vers la re-reconnaissance de la profession. C’est une telle reconnaissance  qu’il manque pour une indépendance des agriculteurs faces aux grandes marques qui absorbent tous les bénéfices et le travail de ces derniers.

Choisir des produits avec un label éthique est également une démarche importante, mais attention au green washing ! Aujourd’hui, de nombreuses marques profitent de l’engouement écolo pour vendre plus en inventant des labels qui ne sont pas contrôlés. Il faut se fier aux recommandations officielles ou d’associations de protection de l’environnement et non aux marques directement.

Ne pas les gaspiller permet de rentabiliser au maximum ces produits et pousse à ne pas les engendrer en excès, soulageant la contrainte de productivité des agriculteurs. On jette un tiers de la nourriture que l’on produit dans le monde, et si en Europe on a la chance de pouvoir se le permettre financièrement, n’oublions pas qu’il est toujours possible de garder nos restes pour une autre fois ou d’emporter chez soi les plats non terminés à l’extérieur par exemple.

Sensibiliser nos proches (et moins proches, ne nous limitons pas) à la réalité de la situation et les inciter à nous suivre dans ce changement d’habitudes, même si ça peut secouer un peu. Une évolution pareille gagnerait à se généraliser à l’ensemble de la société, pour sa propre pérennité. Promouvoir une croissance perpétuelle dans un monde fini ne répond à aucun sens logique et c’est pourtant ce à quoi on participe tous en consommant des produits venus par avion ou qui nécessitent un fort apport en intrants (engrais et pesticides) pour pousser chez nous.

Attention : La semaine dernière, un rapport alarmant est paru sur l’état de la biodiversité : on parle de la possibilité d’extinction d’une espèce vivante sur 8, soit un million, durant les prochaines décennies. Les scientifiques affirment que tous ces thèmes dont on parle actuellement (climat, énergies, biodiversité) sont intimement liés et que leur prise en compte politique est urgente et compatible. Les jeunes ont beau effectuer des « rendus de copies » et des leçons au gouvernement tous les vendredis en proposant différentes voies d’amélioration à chaque fois, l’absence de réaction forte et contraignante est généralisée et demande un engouement de plus en plus important de la part des particuliers, à défaut manifeste de prise en compte à un niveau supérieur. Nos actions ont véritablement un impact sur notre environnement, de plus en plus fragile. Si nous estimons que nous en sommes les maîtres, nous nous devons d’en assurer une continuité à défaut d’une diversité déjà vacillante.

Je vous parle de faits provenant d’études sur le sujet, et cette gazette se veut informative et positive. Mais nous arrivons à un stade où il devient essentiel d’agir sur un maximum de fronts et de sensibiliser un maximum de personnes.

On peut compter sur vous pour nous filer un petit coup de pouce alors ?

Pour aller plus loin :

Le rapport sur l’état de la biodiversité de l’IPBES : https://reporterre.net/Pour-eviter-l-effondrement-du-vivant-il-faut-changer-l-agriculture-et-l et https://www.ipbes.net/news/Media-Release-Global-Assessment-Fr

Les labels sûrs : https://www.notre-planete.info/ecologie/eco-citoyen/labels_ecologiques.php

Le green washing : Film L’illusion verte de Werner Boote, 2018

Toutes les actualités sur l’agroécologie : https://www.actu-environnement.com/agroecologie/

Retours sur « La Fin des Paysans » rédigé par Henry Mendras en 1967 : https://www.lemonde.fr/idees/article/2008/08/01/la-fin-des-paysans-par-laetitia-clavreul_1079462_3232.html et https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-idees/la-fin-des-paysans

Etude d’un scénario tout bio en Europe : https://reporterre.net/Avec-l-agroecologie-ce-qui-est-bon-pour-la-biodiversite-l-est-pour-le-climat

Article rédigé par Cécile Scherer, volontaire en Service Civique (crédit photo)

© Alexandre Marchi

#SPORT Expo photo « L’œil dans la roue »

#SPORT Expo photo « L’œil dans la roue » 568 378 Pauline COURTOIS

La Région Grand Est organise à Tomblaine, l’exposition photo  » L’œil dans la roue  » d’Alexandre Marchi, photographe de presse, consacrée aux passages du Tour de France dans le Grand Est depuis plus de 15 ans.

A J-50 jours de l’arrivée de l’étape nancéenne, le vernissage aura lieu le lundi 20 mai 2019 à 18h, à la Maison Régionale des Sports de Tomblaine, en présence d’Henry Lemoine, Conseiller régional du Grand Est. Accompagné par Pierre-Yves Thouault, Directeur adjoint du Tour de France, Henry Lemoine sera également présent à la conférence « Evénement mondial et territoires : le Tour de France et ses retombées économiques, touristiques et sportives au niveau local », qui suivra l’inauguration à 19h.

Le Grand Est accueille cette année 6 étapes du Tour de France :

  • Le 8 juillet arrivée à Epernay,
  • Le 9 juillet départ de Reims et arrivée à Nancy,
  • Le 10 Juillet départ de Saint-Dié-des-Vosges et arrivée à Colmar,
  • Le 11 Juillet arrivée à Mulhouse.

Véritable vecteur d’attractivité et 3ème événement sportif le plus regardé dans le monde, la plus célèbre des courses cyclistes françaises fait rayonner nationalement et internationalement le territoire du Grand Est.

Venez vivre le tour avec nous !

#TDF2019 #GrandEst

Pour visiter l’exposition «  L’œil dans la roue », il est indispensable de s’inscrire au préalable

#JEUN’EST Découvrez « Une Part d’Ombre » avec votre avantage Cinéma +

#JEUN’EST Découvrez « Une Part d’Ombre » avec votre avantage Cinéma + 810 1080 Julie WEISHARD

Sortie en salle de cinéma, le mercredi 22 mai du long-métrage UNE PART D’OMBRE, réalisé par Samuel TILMAN et tourné en grande partie en Grand Est, et plus particulièrement dans les Vosges, avec la participation de nombreux techniciens et comédiens.

Ce film a bénéficié d’un soutien de la Région, en partenariat avec le CNC, et de l’accompagnement du Bureau d’Accueil des Tournages Grand Est / Agence culturelle.

Polar psychologique intense, ce film a été présenté au Festival international du film policier de Beaune où il a remporté le Prix spécial police. Cette production franco-belge a également obtenu sept nominations aux Magritte du cinéma 2019, et a été récompensé à deux reprises : Magritte de la meilleure actrice pour Natacha Régnier et Magritte du meilleur premier film.

Synopsis : David est un père de famille comblé : une femme qu’il aime, deux enfants adorables, une bande de potes soudée. Au retour de leurs dernières vacances, David est interrogé par la police dans le cadre d’un meurtre. Rapidement, l’enquête établit qu’il n’est pas irréprochable. Même si son meilleur ami et son avocat le soutiennent, le doute se propage dans son entourage…

Casting : Fabrizio Rongione, Natacha Régnier

Le + de Jeun’Est : utilisez votre avantage Cinéma + pour aller voir « Une Part d’Ombre » !

Jeun'Est

Pour rappel, l’avantage Cinéma +, c’est 2 x 3€ pour les lycéens, apprentis étudiants et les jeunes en emploi de – 25 ans mais aussi pour les volontaires en Service Civique, les jeunes suivis par une Mission Locale et les demandeurs d’emploi jusqu’à 29 ans qui sont inscrits à Jeun’Est et qui souhaitent découvrir les films soutenus par la Région Grand Est.

Retrouvez les cinémas qui projettent le film près de chez vous en Grand Est.

#S’ENGAGER Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg 2019

#S’ENGAGER Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg 2019 440 183 Julie WEISHARD


Pour l’édition 2019 du Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, la Région Grand Est offre la chance aux lycéens du Grand Est en classe de Terminale, de composer le Jury Jeunes 2019.

Sur place, les jeunes jurés visionneront un certain nombre de films. Ils devront alors choisir, argumenter, défendre leur film, expliquer leur choix. Ce moment festivalier est aussi l’opportunité de vivre l’évènement de l’intérieur, dans une atmosphère spécifique où ils côtoient artistes, réalisateurs et professionnels du cinéma tous les jours.

Les élèves sélectionnés seront mobilisés du jeudi 19 septembre au dimanche 22 septembre 2019 pour la sensibilisation au rôle de jury et le visionnage des films. Le séjour est entièrement pris en charge par la Région et le Festival (transport, hébergement, restauration, accès aux séances de cinéma…).

Les lycéens en classe de Première, avec option audiovisuel/cinéma ou non, désireux de s’investir dans cet évènement lors de leur année de Terminale l’an prochain, sont donc invités à candidater et exprimer leur motivation via le formulaire en ligne.

La date de fin des candidatures est fixée au 07 juin 2019, et la sélection sera faite conjointement entre les organisateurs du Festival et des professionnels de la Région Grand Est.

Les candidats retenus seront avertis par mail.

Bonne chance à tous !



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