avril 2020

En cette période particulière, c’est parfois difficile de garder son calme et de gérer le stress. Mais c’est normal, ça se travaille !

Le stress est une réaction naturelle du corps, quand notre environnement change, qu’on a une pression ou une appréhension, un examen, une rencontre importante, un rendez-vous amoureux, professionnel ou scolaire, bref, un événement avec un enjeu plus ou moins fort. Le stress se manifeste de manière différente chez chacun, boule au ventre, forte transpiration, palpitations et cœur qui s’emballe, chacun a droit à ses propres symptômes !

• Le stress peut être positif, lorsqu’il est ponctuel par exemple, il nous permet alors d’être plus attentifs, concentrés et donc souvent de mieux vivre le moment redouté.
• Il peut également s’avérer négatif, dans le cas d’une situation qui dure ou qui se produit par épisodes récurrents par exemple. Cela peut générer de l’anxiété ou des crises d’angoisse.

En plus, le problème est que « le stress appelle le stress » et c’est un vrai cercle vicieux ! Alors il ne faut pas se laisser submerger par la situation et essayer d’être plus fort que les émotions négatives.

Il est parfois difficile de lutter contre son corps. Certaines situations resteront stressantes et donc seront des étapes compliquées. On peut néanmoins essayer d’anticiper ces moments et de travailler pour les vivre le plus sereinement possible.

Voici quelques conseils pour mieux vivre avec son stress, tenter de le limiter voire de l’éliminer, il est primordial d’avoir une bonne hygiène de vie, on pense par exemple à :

• Manger équilibré et varié, pour permettre au corps d’avoir tous les nutriments nécessaires et donc assurer un bon fonctionnement des différentes réactions,
• Boire suffisamment d’eau pour rester hydraté (surtout en cas de forte transpiration),
• Pratiquer une activité physique quotidienne (attention activité physique ne veut pas dire que du sport, donc un peu de marche, de ménage ou de yoga sont tout à fait bénéfiques !),
• Mais pratiquer un sport est tout aussi conseillé ! Cela permet de se défouler, de relâcher la pression et de se concentrer sur quelque chose d’autre et donc de libérer son esprit, 
• Bien dormir pour permettre au corps de récupérer de l’énergie et se reposer (ne pas dormir trop ni trop peu, voir notre article sur le sommeil : https://archive-jeunest.zecarte.fr/sante-dormez-cest-bon-pour-la-sante/),
• Diminuer le café, la cigarette, l’alcool, ils placent le corps en situation de stress et augmentent le rythme cardiaque,
• Garder des moments pour soi dans la journée, détente, relaxation, lecture, médiation, ou même musique et cinéma (attention au film regardé qui peut être stressant !), une activité qui calme et nous fait plaisir,
• Exprimer ses émotions, ne pas tout garder pour soi, en parler avec son entourage, que ce soit les joies ou les peurs, et écouter les autres en retour.
• Ne pas rester enfermé à la maison, prendre l’air et le soleil,
• Si le stress est d’ordre professionnel ou scolaire, on se prépare au mieux en connaissant bien le cours sur lequel porte l’examen ou l’entreprise dans laquelle on passe un entretien, etc.
• L’organisation est très importante également, anticipation et planification permettent d’éviter d’être débordé et donc de stresser J
• Si vous avez du mal à gérer le stress et que vous pensez avoir besoin d’aide, il existe différentes possibilités et vous pouvez tout à fait les mobiliser : méditation, relaxation, sophrologie ou thérapie personnalisée, il ne faut pas hésiter à s’adresser à des professionnels.

Comment ? Le corps face au stress…

Dans une situation de stress, le cerveau envoie un signal aux glandes surrénales, elles libèrent différentes hormones. Cela entraine différentes réactions dont l’augmentation de la fréquence cardiaque, de la température du corps, de la tension et de la respiration. Tout cela permet au corps d’apporter plus d’oxygène aux muscles et au cœur, d’être alerte et donc prêt à réagir à toutes sortes de situations. En cas de stress prolongé de nouvelles hormones sont sécrétées, elles permettent d’augmenter le taux de sucre dans le sang pour apporter de l’énergie au corps (muscles, cœur, cerveau). Malheureusement, si la situation se prolonge encore, le corps n’arrive plus à suivre et s’épuise petit à petit. 

Par ailleurs, le stress chronique peut avoir de lourdes conséquences sur la santé, il peut entrainer différentes maladies, notamment les maladies cardio-vasculaires. En effet, le stress a une influence sur l’hypertension par exemple et peut multiplier le risque d’infarctus par 2,5. Il est important de prendre au sérieux le traitement du stress d’une manière ou d’une autre, s’il s’installe au quotidien cela peut avoir des effets néfastes pour l’organisme : problèmes de digestion, maux de tête, insomnies, dépression, burn-out, etc. Il faut prendre soin de soi, c’est absolument indispensable pour se sentir bien dans sa vie.

Si vous souhaitez trouver plus d’information sur le stress, l’anxiété et les différentes conséquences sur l’organisme, vous pouvez vous rendre sur https://www.fedecardio.org/

Le site https://www.allodocteurs.fr/ permet également de trouver beaucoup d’informations sur différentes thématiques, vous y trouverez des explications écrites mais aussi des vidéos.

Si vous avez besoin de parler de votre stress, d’exprimer vos doutes et inquiétudes, vous pouvez rencontrer l’infirmière de votre établissement, téléphoner à la ligne d’écoute Fil Santé Jeunes au 0800 235 236 (numéro anonyme et gratuit, ouvert tous les jours de 9h à 23h), ou vous rendre dans un point d’accueil, maison des adolescents, etc.

Article rédigé par Léa Rebouah, Volontaire en Service Civique à la Région Grand Est

En temps de crise, j’ai toujours trouvé un allié de taille dans le 7ème art. En confinement et en période d’épidémie, le cinéma sait aussi apporter des réponses aux questions qu’on se pose et même à celles qu’on ne se pose pas. Dans cette liste (évidemment subjective), il n’est pas vraiment question de découvrir les cinéastes chevronnés qui arpentent les pages des Cahiers du cinéma, mais plutôt de vous livrer une sélection de films que j’aime à revoir et qui me paraissent on-ne-peut-plus actuels aujourd’hui. Alors à vos écrans (si ce n’était pas déjà le cas) et voilà mes conseils pour : 

1. Se replonger dans les classiques avec Fenêtre sur cour (Rear window, Alfred Hitchcock, 1954)

Ça raconte quoi ? Interprété par James Stewart, L.B. Jeffries, reporter-photographe, se retrouve condamné à rester chez lui à cause d’une jambe cassée. Recevant pour seules visites celles de sa cynique femme de ménage et de la belle Lisa Fremont (Grace Kelly évidemment), sa petite-amie attendant impatiemment une demande en mariage, il s’occupe à la manière du journaliste qu’il est, en observant par sa fenêtre donnant sur cour les petites manies de ses voisins. Un quotidien tranquille en somme jusqu’au jour où il se met à suspecter son voisin d’avoir assassiné sa femme. Aidé de ses deux acolytes, il débute une enquête haletante dont seul monsieur Hitchcock a le secret.

Pourquoi le regarder maintenant ? Confiné dans son appartement, Jeffries incarne la figure du voyeur. Mais ce que nous fait comprendre le réalisateur, c’est que, devant nos écrans, confinés dans nos appartements (j’admets qu’il ne pouvait pas être au courant pour cette partie), nous sommes tout autant voyeurs que lui. Par extension, le film nous permet de questionner notre propre rapport au voyeurisme qui se matérialise aujourd’hui dans les réseaux sociaux et donc peut-être de remettre en question l’utilisation néfaste qu’on peut parfois en faire.

2. S’imaginer le pire avec Perfect Sense (David Mackenzie, 2011)

Ça raconte quoi ? L’histoire d’un étrange virus qui se propage dans le monde. D’abord, c’est l’odorat qui disparaît, subitement, sans crier gare, puis le goût, et je vous laisse imaginer la suite. Les scientifiques ne comprennent pas grand chose à cette drôle de maladie qui modifie du tout au tout les comportements. Au milieu de cette catastrophe, une romance poétique voit le jour entre deux allergiques à l’amour, plantés par Eva Green et Ewan McGregor.

Pourquoi le regarder maintenant ? Évidemment, l’aspect épidémique rend son visionnage plus que d’actualité. Mais tout l’intérêt de ce beau film, c’est de se pencher avec onirisme sur nos réactions en temps de crise, qui font parfaitement écho aux images que l’on peut voir dans les médias. Une bonne occasion donc de réfléchir à la psyché humaine et tenter de comprendre un peu ce qu’il se passe dans nos têtes ces temps-ci.

3. Apprendre à se méfier avec 8 Femmes (François Ozon, 2002)

Ça raconte quoi ? Dans sa grande villa bourgeoise des années 50, entouré de femme, filles, soeur, belle-mère, belle-soeur et servantes, un homme vit… son dernier jour. Au matin de Noël, il est retrouvé assassiné, un couteau planté dans le dos. Enfermées dans la demeure, les huit femmes comprennent vite que la coupable se trouve parmi elles. Démarre alors une enquête qui fera éclater au grand jour les petits secrets de chacune. Avec son casting huit étoiles et ses airs de comédie musicale (une chanson par actrice), le film nous emmène sur tous les terrains, des interrogatoires soupçonneux aux frasques burlesques.  

Pourquoi le regarder maintenant ? Pas pour vous inspirer des envies de meurtre au sein de votre famille, mais plutôt pour redécouvrir un splendide huis clos féministe et réfléchir aux moeurs d’une époque pas si lointaine, qui peuvent nous dire beaucoup sur l’égalité hommes-femmes encore aujourd’hui.

4. Se complaire dans l’oisiveté avec Libre et Assoupi (Benjamin Guedj, 2014)

Ça raconte quoi ? Du plus loin qu’il se souvienne, Sébastien (Baptiste Lecaplain) a toujours voulu ne rien faire. Objectif qu’il a su mettre en application jusqu’au jour où ses parents, lassés de le voir enchaîner sans but les masters et doctorats, l’envoient là où tout le monde fait toujours quelque chose, à Paris. Atterri dans une collocation avec une ancienne camarade de classe ultra motivée, Anna (Charlotte Le Bon), et un roi de la débrouille un peu loufoque, Bruno (Félix Moati), notre anti-héros va tout faire pour mener à bien son plan d’existence. Amour, amitié et considérations philosophiques se mêlent dans ce film drolatique et excellemment bien écrit.

Pourquoi le regarder maintenant ? Pour se déculpabiliser de parfois ne rien faire. Parce que oui, le confinement peut être le moment d’apprendre de nouvelles choses et de vivre de nouvelles expériences, mais il peut aussi être l’occasion de se reposer, comme on a si longtemps rêvé de pouvoir le faire.

5. Se mettre un peu de baume au coeur avec Big Fish (Tim Burton, 2004)

Ça raconte quoi ? William Bloom se rend au chevet de son père mourant auquel il n’a pas adressé la parole depuis des années, lui reprochant de mentir et affabuler en permanence. Tandis que son fils tente de déceler le vrai du faux, Edward Bloom narre son histoire rocambolesque et poétique, du vol de son alliance par un gros poisson à son enrôlement dans un cirque, en passant par sa tendre histoire d’amour. Pour rire, pour sourire, pour rêver, pour voir plus grand, pour réapprendre à aimer ses parents, pour s’émouvoir, pour à peu près tous les moments de la vie en fait. 

Pourquoi le regarder maintenant ? A vrai dire, celui-ci ne vous donnera pas forcément matière à réfléchir sur la situation actuelle, je voulais juste vous conseiller mon feel good movie à toute épreuve. Même si, il est toujours intéressant de se rappeler que, contre vents et marées, il nous reste toujours le pouvoir de l’imagination. 

Article rédigé par Manon Fabra-Defrene, Volontaire en Service Civique à la Région Grand Est.

Durant cette période difficile, des initiatives solidaires et fraternelles, éclosent un peu partout sur les territoires. Nous vous proposons cette série de portraits qui aura pour objectif d’offrir une visibilité à ces actions citoyennes, afin de soutenir, d’inspirer et de consolider nos valeurs humaines.

N°1 : Quand les réseaux sociaux soutiennent les efforts de solidarité !

– Pouvez-vous nous parler un peu de vous ? De votre situation avant/après confinement ?

Maxime Gasparella, 29 ans, je suis travailleur indépendant dans le milieu du sport et de l’animation. Ne pouvant pas travailler en ce moment, j’essaye d’utiliser mon temps libre afin d’œuvrer pour le bien commun.

– Avez vous des sentiments que vous auriez envie de partager sur la situation actuelle ?

Au début de cette crise vis-à-vis du virus, nous étions tous dans l’inconnu et la situation fut compliquée pour tout le monde, je pense. Mais à présent, nous sommes plutôt bien informés et chaque citoyen prend les mesures nécessaires afin de se protéger et de protéger les autres.

– Pouvez vous nous expliquer votre démarche ?

J’ai créé sur Facebook un groupe d’entraide entre citoyens destiné à aider les personnes isolées et/ou confinées ne pouvant pas se déplacer pour des achats de première nécessité.

– Comment avez-vous eu cette idée ?

J’aidais déjà ponctuellement ma grand-mère et certains voisins. Un matin en écoutant la radio, je suis tombé sur l’interview d’une personne réalisant cela à l’échelle d’une ville grâce aux réseaux sociaux. L’idée m’est venue de reproduire cela dans ma commune de Marange-Silvange-Ternel.

– Comment se passent les échanges sur votre groupe ? Sont-ils chaleureux ? Y a t-il besoin de modération ?

Les échanges se passent très bien, et le groupe évolue d’une fort belle manière. Si au départ les discussions tournaient essentiellement autour des courses alimentaires et médicales, à présent, certains fabriquent des masques et les proposent aux personnes en ayant besoin, d’autres cuisinent pour les pompiers ou pour le personnel hospitalier, écrivent des lettres aux personnes isolées, …, c’est un vrai élan de solidarité à tous les niveaux.

Concernant la modération, je l’ai fait qu’une seule fois. Quand on connaît bien les réseaux, c’est vraiment rien. La modération n’est donc pas indispensable, tout se passe bien.

– Avez-vous des pistes d’amélioration pour votre projet ?

La seule amélioration possible était le relais d’information concernant l’existence de ce groupe par la mairie, mais cela a été effectué il y a 2 semaines après la création de la page. Je remercie d’ailleurs la municipalité pour cela.

– Quels conseils avez vous à donner à d’autres internautes qui souhaitent participer/recréer votre initiative dans leur quartier ?

Faites ! C’est en additionnant toutes ces petites actions que nous sortirons plus vite et plus fort de cette crise. Et au lendemain de cette pandémie, quand tout ira mieux et que cela ne sera qu’un affreux et lointain souvenir, nous nous souviendrons de cette solidarité et de cette bienveillance dont nous avons tous fait preuve face au virus. 

Si vous êtes domicilié, sur Marange-Silvange-Ternel, vous pouvez rejoindre le groupe en suivant cette adresse : https://www.facebook.com/groups/197842904809566/ . D’autres groupes de solidarité en ligne existent, n’hésitez pas à créer le votre ou à suivre les informations communiquées sur les réseaux sociaux par votre commune !

Article rédigé par Réhane Esrhyer, Volontaire en Service Civique à la Région Grand Est.

« L’empreinte de l’homme, l’histoire des français »

Génèse du projet

Le Mémorial Charles de Gaulle est situé à Colombey-les-Deux-Églises, dans la Haute-Marne.

Créé par la Fondation Charles de Gaulle et le Conseil général de la Haute-Marne, il remplace le mémorial du Général de Gaulle inauguré le 18 juin 1972, qui abritait jusqu’alors une petite exposition et commandait l’accès à la Croix de Lorraine.

Lancés officiellement par le Président de la République Jacques Chirac le 9 novembre 2006, le Mémorial Charles de Gaulle et son exposition temporaire « De Gaulle-Adenauer : une réconciliation franco-allemande » ont été inaugurés le 11 octobre 2008 par le Président Nicolas Sarkozy et la Chancelière Angela Merkel, cinquante ans après la rencontre historique à la Boisserie entre le Général et le Chancelier Konrad Adenauer.

Le Mémorial Charles de Gaulle constitue un véritable rendez-vous avec l’histoire du vingtième siècle et une rencontre avec le Général dans son intimité.

Pensé comme le socle de la Croix de Lorraine, le bâtiment inscrit tout à la fois le personnage de Charles de Gaulle au cœur de la modernité et dans les paysages de Colombey-les-Deux-Églises qu’il affectionnait particulièrement. C’est par ailleurs dans cette commune qu’il choisit dès 1934 de s’installer en famille et qu’il fit l’Histoire en recevant dans sa demeure familiale le chancelier Adenauer en septembre 1958.Si cette demeure, la Boisserie, est depuis quelques décennies ouverte au public, le Mémorial permet de comprendre mieux comprendre le plus illustre des Français dans tous les aspects de sa vie.

L’exposition permanente

Les ambiances successivement recréées au sein du Mémorial immergent les visiteurs dans différentes époques et consacrent l’équipement comme un centre d’interprétation où tout un chacun peut revivre la Grande Histoire au travers de la vie de Charles de Gaulle.

L’exposition permanente aborde toutes les facettes du personnage et de son temps. Elle présente le Général dans son rôle d’écrivain, de chef de la France Libre, de père de famille, d’homme politique mais développe aussi l’héritage laissé par De Gaulle ainsi que les critiques et les caricatures qu’il a pu inspirer.

Répartie sur 1600 m², elle se déroule selon un fil directeur original : l’enracinement de Charles de Gaulle au village de Colombey-les-Deux-Églises et aux paysages haut-marnais « faits d’austère-grandeur ».

Lieu d’histoire vivante, le Mémorial Charles de Gaulle est riche d’une grande variété de supports imaginés par les scénographes de Nausicaa, Christian Le Conte et Geneviève Noirot : décors, films sur écrans géants, bornes multimédia, créations sonores, commentaires écrits, dioramas, archives sonores et audiovisuelles. A la pointe de la technologie, il s’adresse à tous.

D’une durée moyenne de 2h00, le parcours de visite se déroule sur deux étages et est découpé en une série de séquences chronologiques approfondies par différents espaces thématiques.

Le Mémorial en chiffres

• 4000 m² implantés au pied de la Croix de Lorraine
• Un espace d’exposition permanente de 1600 m²
• Une visite moyenne de l’exposition permanente de 2h00
• 50 installations audiovisuelles, bornes multimédia et interactives
• 1000 photographies, 40 cartes, 240 panneaux graphiques
• Un centre de documentation riche du plus important fond bibliographique sur le Général de Gaulle après la Fondation Charles de Gaulle à Paris
• Un amphithéâtre de 194 places à la location ou pouvant héberger des spectacles
• Deux salles pédagogiques
• Une salle de commission
• La « Boutique du Mémorial »
• Le « Café du Mémorial »

Partenariats du Mémorial

Depuis son inauguration en 2008, le Mémorial Charles de Gaulle a noué différents partenariats lui permettant de mener à bien de nombreux projets :

• La Fondation Charles de Gaulle : Créée avec l’accord du Général de Gaulle et reconnue d’utilité publique en 1992, la Fondation s’emploie, depuis 1971, à entretenir la mémoire de l’Homme du 18 juin et à faire rayonner son exemple en France et à l’étranger, en particulier auprès des jeunes générations. Le site internet de la Fondation Charles de Gaulle

• Le Musée de l’Armée : Le 20 février 2013, un rendez-vous était donné à l’Hôtel national des Invalides pour signer la convention qui allait donner lieu au « Parcours De Gaulle » : collaboration entre le Mémorial Charles de Gaulle, le Musée de l’Armée et la Fondation Charles de Gaulle, pour honorer la mémoire du Général. Le site internet du Musée de l’Armée

• L’ONACVG de la Haute-Marne : Également aux côtés du Mémorial Charles de Gaulle depuis plusieurs années, l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre (ONACVG) apporte son soutien pour la transmission de la mémoire, notamment auprès des plus jeunes. Le site internet de l’ONAC

• L’INA : Dernier partenariat en date, signé au mois d’avril 2013, l’Institut National de l’Audiovisuel (INA) accorde sa confiance au Mémorial Charles de Gaulle pour la diffusion de ses documents.Le site internet de l’INA

Horaires d’ouverture

Sources : http://www.charles-de-gaulle.org/les-lieux-gaulliens/le-memorial/

Du 14 avril au 17 mai, tentez de gagner vos billets d’entrée pour le Mémorial Charles de Gaulle dans la partie Jeux-concours de votre appli Jeun’Est.

www.plusforts-grandest.fr

Plus Forts Grand Est, est une initiative de la Région Grand Est qui facilite la mise en relation entre les solutions innovantes de notre territoire et les besoins des collectivités, entreprises, associations, établissements de soins ou de simples citoyens dans le contexte du COVID-19.

Elle mobilise + de 20 entreprises innovantes et makers, tous unis et solidaires, sélectionnés et qualifiés par l’écosystème d’innovation du Grand Est ! Cette plateforme, 100% gratuite, est améliorée quotidiennement, merci de votre bienveillance !

N’hésitez pas à vous connecter pour chercher, proposer ou découvrir les solutions qui s’offrent à vous sur le territoire du Grand Est.

Prenez quelques instants pour découvrir l’univers musical de Sehor, une association née de la volonté de rendre la musique accessible à tous.

SEHOR est une jeune association, dont les membres fondateurs sont animés d’une même idée : rendre la musique accessible à tous les publics, des plus jeunes aux adultes, des néophytes aux musiciens avertis. On peut jouer de la musique simplement, pas de partition, pas de solfège, juste du plaisir associé à une ambition artistique collective.

En ces temps de confinement, n’hésitez pas à aller consulter le site web de Sehor, mais également leur Facebook et leur Instagram qui pourront vous donner des idées d’activités à mettre en place chez vous dès à présent, puis avec l’équipe de Sehor dès que possible.

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