juin 2020

Jeun’Est 2019/2020, bientôt fini… mais Jeun’Est 2020/2021 n’est pas loin !

Dès le 8 juin 2020, l’année scolaire 2020/2021 démarre sur Jeun’Est et vos nouveaux avantages vous permettront de profiter de l’offre des partenaires sur le territoire :

Si vous étiez lycéen et que vous restez au lycée, vous n’avez rien à faire : votre scolarité sera revalidée par votre établissement.

Si vous étiez étudiant, en Service Civique, en recherche d’emploi, apprenti ou tout autre statut, vous devrez vous connecter à votre compte Jeun’Est et indiquer si vous souhaitez rester inscrit à Jeun’Est pour cette nouvelle année scolaire, puis indiquer votre statut pour 2020/2021.

Si vous ne vous étiez pas inscrit à Jeun’Est pour 2019/2020, vous pouvez vous rattraper à partir du 8 juin 2020 en renseignant le formulaire d’inscription !

Avec Jeun’Est, tout au long de l’année, profitez également, en plus des avantages financiers selon votre profil, des bons plans tourisme, festival, … ou participez aux jeux-concours sur l’application Jeun’Est pour tenter de gagner des tas de lots (places de matchs ou de spectacles, maillots des équipes du Grand Est, etc.).

Si vous avez encore des doutes sur ce qu’est Jeun’Est, nous vous avons préparé un tuto en vidéo :

Si vous avez des questions, jetez un œil à la FAQ.

Et si cela ne suffit pas, une assistance téléphonique est disponible gratuitement du lundi au vendredi (sauf jours fériés) de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h30 au 03 66 75 81 92.

A bientôt sur archive-jeunest.zecarte.fr ou sur l’application Jeun’Est

L’équipe Jeun’Est

Venez découvrir la magnifique ville de METZ et ses monuments à bord d’un très beau bateau avec Nautic Boat !

En effet, METZ c’est plus de 3 000 ans d’histoire et élue 4ème destination européenne en 2019 !

Vous avez le choix entre 2 prestations :

• une ballade (commentée) de 50 minutes, le temps de découvrir les plus beaux monuments messins, son plan d’eau ainsi que la faune et la flore de la Moselle.
• un « Apéro boat » d’1h20m, le temps de bien profiter pour déguster les produits locaux qui vous seront servis en plus de la visite.

En famille, entre amis ou en couple, le bateau peut accueillir 4 personnes !

Attention, le déconfinement doit s’accompagner des mesures préventives nécessaires.

Chez NAUTIC BOAT la sécurité est prioritaire. Sachez qu’il faudra patienter encore un peu pour retrouver les joies de la navigation sur la Moselle. VNF (Voies Navigables de France) a fixé la date de la reprise au 29 MAI 2020.

Nautic Boat été soutenu par la Région Grand Est dans le cadre du dispositif Entreprenariat des Jeunes.

L’article Prêts pour la reprise des lycéens est apparu en premier sur GrandEst.

Maxime et Thaïs sont Volontaires en Service Civique à la Région Grand Est, en binôme sur la mission « Lycées en transition». C’est un programme de la Région qui consiste à accompagner des lycées pour les aider à réaliser leurs projets de développement durable.

Leur mission consiste à animer ce réseau « Lycée en Transition», par l’organisation d’évènements à destination de différents publics : lycéens, personnels, agent techniques… mais aussi à participer au développement de la démarche par le développement d’outils. Ils travaillent principalement sur l’axe « Espaces extérieurs et biodiversité » mais peuvent aussi être amenés à réaliser des actions transversales aux différents axes (qualité de l’air, gaspillage alimentaire…).

Pourquoi avoir choisi cette mission de Service Civique ?

M :  Je cherchais un stage pour finaliser mon master de sociologie, et on a la possibilité de faire un Service Civique pour élargir nos possibilités de trouver ce stage. Le Service Civique est une démarche qui m’intéressait et je me suis mis à en chercher un, et qui plus est c’était ma dernière chance car j’ai 26 ans l’été prochain. Les missions proposées par les offres étaient intéressantes, et j’ai donc postulé à ce Service Civique à la Région Grand Est qui était une bonne opportunité de concilier engagement civique, engagement personnel sur une thématique selon moi essentielle et prolongement de mes études.

T : J’ai toujours voulu travailler dans le domaine du développement durable. Et lorsque j’ai commencé à chercher une mission de Service Civique, je voulais absolument qu’elle soit dans ce domaine. J’ai rapidement trouvé plusieurs associations qui cherchaient des Services Civiques, mais les missions ne me parlaient pas autant que celles que proposait la Région. Ce qui m’a convaincue, c’est le fait que je savais que ma mission allait avoir un réel impact : il s’agissait de travailler à grande échelle (toute la Région Grand Est), avec des jeunes et surtout pour les jeunes (des lycéens). Je souhaitais aussi avoir un minimum de responsabilités et que mes missions soient suffisamment  difficiles pour que je doive me dépasser.

Qu’est-ce que votre mission vous apporte ?

M :  Cette mission va me permettre de continuer mon travail de recherche sociologique de l’an dernier, sur le « syndrome du manque de nature » qui est un constat de l’américain Richard Louv sur la perte d’un contact (quotidien, émotionnel…) avec la « nature » des nouvelles générations et ses conséquences sur la santé et l’environnement. Un constat que le monde associatif naturaliste cherche à mettre en lumière et à y remédier. Alors que mon travail l’an passé se tournait autour des enfants (maternelle-primaire), je souhaite continuer cette recherche sur le public adolescent lycéen, que l’on voit de plus en plus présent dans la cause écologiste. De plus, être à la Région Grand Est permet d’être au cœur d’un acteur institutionnel décisif sur les territoires, ce qui est très enrichissant. Enfin, personnellement, cela me permet de réaliser des actions qui vont dans le sens de mes convictions personnelles sur la nécessité d’une transition écologiste dans un contexte alarmant de réchauffement climatique et de chute de la biodiversité.

T : Mon Service Civique m’a permis de découvrir une nouvelle façon de travailler autour du développement durable. En effet, j’ai découvert qu’au-delà de l’aspect de la sensibilisation et scientifique, en écologie, il faut aussi avoir des compétences en matière de communication, de gestion de projet et d’organisation d’événements. Mes missions m’ont permis de développer certaines de ces compétences.

Quels sont vos projets dans le cadre de votre mission ?

M et T :  Nous organisons divers évènements : des projections de films à destinations de lycéens comme Le fleuve invisible, un trésor sous la plaine du Rhin de Serge Dumont, des Journées Techniques de rassemblement de personnels de lycées sur le thème « Espaces verts et lycées » ou encore une journée sur le thème de la désimperméabilisation des sols pour les agents techniques des Maisons de Régions.

Nous travaillons également sur un concours photo « Biodiversité dans les lycées » sur Instagram qui aura lieu au printemps (et dont les photos devraient, par la suite, faire l’objet d’une exposition itinérante dans les lycées) . Enfin, le développement des outils passe par un travail sur une carte interactive des lycées en Transition qui sera sur le site de la Région Grand Est, et le développement de nouveaux outils de communication de la démarche, en lien avec un lycée d’art graphique.

Qu’imaginez-vous sur votre après Service Civique ?

M :  Mon avenir est quelque chose de flou. J’ai la transition fin des études/vie active à effectuer. Je vais avoir besoin de travailler après une période d’étude difficile financièrement. Je pense chercher un travail, que j’aimerais en lien avec la question de la transition écologique, en milieu associatif ou en collectivité. J’aimerais un projet d’expérience(s) à l’étranger pour élargir mon champ de vision, ce qui est nécessaire. L’objectif est d’être un acteur d’un changement nécessaire de nos modes de vie et de nos relations avec le vivant.

T : Au terme de mes études, je souhaiterais travailler dans le domaine de l’environnement. Pendant ma recherche de formation, je me suis rendue compte que la majorité des formations en environnement sont exclusivement scientifiques et techniques, ce qui ne colle pas vraiment avec mes attentes. En effet, je suis très intéressée par la sensibilisation des acteurs, la mise en place et la gestion de projets environnementaux et par conséquent, je me suis tournée vers une école de communication. A partir de l’année prochaine, j’envisage de commencer un bachelor en communication, puis, soit continuer avec un master en communication, soit basculer vers un master en rapport direct avec le développement durable.

Le chiffre du jour :

85 : C’est le nombre de lycées engagés dans la démarche « Lycée en transition » depuis 2017

Article rédigé par Tilelli Atlaoui, Volontaire en Service Civique à la Région Grand Est.