Dès le 19 mai et pour un quota de 40 000 places, la Région permet à tous les jeunes de 15 à 29 ans inscrits sur Jeun’Est et non-salariés, de bénéficier de 5 places de cinéma à 1€ dans les salles participant à l’opération (soit 5 réductions de 4€ disponibles sur l’appli ou la carte Jeun’Est).
Les cinémas participants sont à retrouver parmi les 54 partenaires Jeun’Est, renseignez-vous auprès de votre cinéma de proximité !
Pour bénéficier de cet avantage à partir du 2 juin 2021, veillez à bien revalider votre inscription Jeun’Est pour l’année 2021-2022 pour les futurs :
- bacheliers, une simple revalidation sur votre application suffit !
- lycéens inscrits sur Jeun’Est, la revalidation se fera par votre futur établissement (fermeture du 15 juillet au 15 août).
Pour les autres lycéens, c’est automatique !
Parfait pour (re)découvrir les films soutenus de nouveau en salles !
Josep sera de nouveau à l’affiche ce 19 mai. Ce film d’animation réalisé par Aurel et coproduit par EJT Labo – Promenons-nous dans les bois (studio strasbourgeois) a remporté le César 2021 du meilleur film d’animation parmi de nombreux autres prix et sélections.
Février 1939. Submergé par le flot de Républicains fuyant la dictature franquiste, le gouvernement français les parque dans des camps. Deux hommes séparés par les barbelés vont se lier d’amitié. L’un est gendarme, l’autre est dessinateur. De Barcelone à New York, l’histoire vraie de Josep Bartolí, combattant antifranquiste et artiste d’exception.
Voir la bande annonce de Josep
Et n’oublions pas également Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary, film d’animation sur lequel a travaillé Innervision (studio strasbourgeois), Mathieu Z’Graggen et Régis Diebold. Réalisé par Rémi Chayé, Calamity a été nominé aux César 2021 et a remporté le Cristal du Film d’animation d’Annecy 2020.
1863, dans un convoi qui progresse vers l’Ouest avec l’espoir d’une vie meilleure, le père de Martha Jane se blesse. C’est elle qui doit conduire le chariot familial et soigner les chevaux. L’apprentissage est rude et pourtant Martha Jane ne s’est jamais sentie aussi libre.